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Une lecture qui ne passe pas par la paroles mais par l’écoute réfléchie La voyance par mail séduit de plus en plus de clients parce qu’elle laisse place à une forme de négoce qui n’est pas de l’éloignement, mais de la renommée. On n’est pas interrompu, on n’est pas obligé de parler, on ne subit pas le rythme d’un dial imposé. Ce que livre ce format, on a un échange lent, contenu, mais d’une forte charge. Le consultant écrit sa sujet. Il prend le années, parfois de multiples heures, parfois de multiples jours. Il choisit les signaux, ou au opposé les jette à savoir ils découlent. Il n’y a pas de bonne ou de affreuse caractère de prévoir. Ce qui compte, on a que quelque chose se dépose. Et dans cette texte déjà, un mouvement s’engage. Le voyant, lui, reçoit cette publication brut. Il le lit attentionnément, perçoit les angles morts, les peurs, ce qui a été exprimé ou contourné. Puis il entre dans le déchiffrement. Par tirage, par eu, par connaissance directe. Ce qu’il renvoie postérieurement, ce n’est pas une synthèse. C’est une réponse réfléchie, respectueuse de son mode de vie, rédigée dans le même calme que celui où ce domaine est issue. Et ce silence-là n’est pas vide. Il est fécond. Il offre la possibilité une instruction qui va droit au centre, sans raccourci, sans flatterie.

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